Mise en scène et chorégraphie : Blanca Li
Film « Jardin des délices » : Eve Ramboz, assistée de Claudio Cavallari
Musique : Tao Gutiérrez
Scénographie : Pierre Attrait, assisté d’Elisabeth Dallier – Lumière : Jacques Châtelet – Vidéo : Charles Carcopino, assisté de Simon Frezel – Costumes : Laurent Mercier, Françoise Yapo – Sculptures corporelles : Tilmann Grawe – Perruques : Jean-Jacques Puchu – Conseiller vocal : Jeff Cohen – Maître de ballet : Antonio Alvarado – Assistante chorégraphe : Deborah Torres
Pianiste : Jeff Cohen (ou David Saliamonas)
Danseurs : Jean-Gérald Dorseuil, Géraldine Fournier, Yan Giraldou, Glyslein Lefever, Blanca Li, Rafa Linares, Bruno Pere, Margalida Riera, Gaêl Rougegrez
(Ont participé à la tournée et/ou la création : Amin Benassa, Anthony Cazaux, Stéphane Lavallée)
Régie générale : Sylvie Debare – Régie plateau : Enriqué Gutierrez / Luigi Totaro / Stéphane Loizeau – Régie lumières : Sylvie Debare / Mathieu Roy – Son : Antoine Imbert / Philippe Calvet – Régie vidéo : Olivier Heinry / Thomas Pachoud / Eric Da Graça Neves – Transport décors : Transcénic
Ont participé à la création : Olivier Beauchet-Filleau (régie générale) – Boris Burasovitch (lumières)
Production : Compagnie Blanca Li – Coproductions : Festival Montpellier Danse 09, le Théâtre-Scène Nationale de Narbonne, Altstadtherbst Kulturfestival (Düsseldorf), DRAC Ile-de-France, CCN de Créteil et du Val-de-Marne (Accueil Studio), Studio de la Maison des Arts de Créteil / Film produit par « La Maison ».
Avec le soutien de CulturesFrance pour certaines des tournées à l’étranger (Serbie, Espagne).
« J’ai toujours été tentée de faire naître une chorégraphie de cette œuvre, où l’enfer se mêle au paradis, le plaisir au vice, et le satirique à la morale… Choisissant une esthétique délibérément pop, j’ai situé mon spectacle au sein d’un espace public contemporain, en parallèle avec les images du tableau. Un aller-retour entre deux univers ; l’un, celui de Bosch, onirique, empreint de poésie et de fantastique, l’autre, ma vision du monde, dans ce qu’il peut avoir de concret, de banalement réel. Les deux s’entrelacent, se métamorphosent. J’ai voulu un spectacle à l’image du tableau : plein de surprises et de fantaisie, sans logique apparente, noir et coloré, plein d’énergie, d’ironie et d’humour ». Blanca Li